- EAN13
- 9782213713649
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 16/03/2022
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Chlorophylle & bêtes de villes
Petit traité d'histoires naturelles au coeur des cités du monde, II
Nicolas Gilsoul
Fayard
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Aide EAN13 : 9782213713649
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Les villes étaient notre royaume.
Puis nous y avons croisé les bêtes. Oiseaux, papillons, renards, sangliers,
hérissons et kangourous ont surgi et sont devenus citadins comme nous.
La révolution continue. Volubile mais silencieuse, Sa Majesté Chlorophylle
marche sur la ville. Hôte, cuisinière et architecte, la Plante entre en scène.
Le lotus sacré de Bangkok navigue-t-il mieux sur les rivières d’asphalte ? Le
haricot parisien nous préviendra-t-il à temps de la pollution de l’air ? À
Tel-Aviv, les plages bruyantes rendent-elles vraiment sourdes les belles de
nuit ? Les chèvres urbaines vont-elles grimper aux arbres de parking ? Et le
roi des papillons mexicains fera-t-il avec la verge d’or son grand retour dans
nos villes ?
Chlorophylle et ses bêtes nous instruisent. Sur le pavé, elles parlent
d’architecture et de géopolitique, de mondialisation et d’ancrage local à la
terre, d’inventions et d’innovations, de culture, d’histoire, d’espoir. Et
d’amour.
Grâce à ces nouvelles histoires naturelles, l’architecte Nicolas Gilsoul nous
entraîne dans un jubilatoire voyage au pays du Vivant. Son école buissonnière,
savante et joyeuse, souligne la fragilité de notre monde et réenchante nos
villes.
Chevalier de l’ordre des Arts & des Lettres, Nicolas Gilsoul est architecte,
paysagiste et docteur à l’Institut des sciences et industries du vivant et de
l’environnement à Paris. Professeur à l’École nationale supérieure
d’architecture Paris- Malaquais, il enseigne de Zurich à Bruxelles. Lauréat de
l’Académie de France à Rome, pensionnaire de la villa Médicis, il a remporté
de nombreux prix d’architecture. En 2018, il publie avec Erik Orsenna Désir de
villes chez Robert Laffont, dans lequel il explore entre autres les tréfonds
de la ville Terrier et les cimes de la ville Canopée. En 2019, il livre sa
vision d’une ville refuge, partagée et vivante dans son essai Bêtes de villes
paru chez Fayard. Ses petits traités d’histoires naturelles des villes
dessinent en chemin de fascinantes perspectives sur le nouveau milieu naturel
de l’humanité.
Puis nous y avons croisé les bêtes. Oiseaux, papillons, renards, sangliers,
hérissons et kangourous ont surgi et sont devenus citadins comme nous.
La révolution continue. Volubile mais silencieuse, Sa Majesté Chlorophylle
marche sur la ville. Hôte, cuisinière et architecte, la Plante entre en scène.
Le lotus sacré de Bangkok navigue-t-il mieux sur les rivières d’asphalte ? Le
haricot parisien nous préviendra-t-il à temps de la pollution de l’air ? À
Tel-Aviv, les plages bruyantes rendent-elles vraiment sourdes les belles de
nuit ? Les chèvres urbaines vont-elles grimper aux arbres de parking ? Et le
roi des papillons mexicains fera-t-il avec la verge d’or son grand retour dans
nos villes ?
Chlorophylle et ses bêtes nous instruisent. Sur le pavé, elles parlent
d’architecture et de géopolitique, de mondialisation et d’ancrage local à la
terre, d’inventions et d’innovations, de culture, d’histoire, d’espoir. Et
d’amour.
Grâce à ces nouvelles histoires naturelles, l’architecte Nicolas Gilsoul nous
entraîne dans un jubilatoire voyage au pays du Vivant. Son école buissonnière,
savante et joyeuse, souligne la fragilité de notre monde et réenchante nos
villes.
Chevalier de l’ordre des Arts & des Lettres, Nicolas Gilsoul est architecte,
paysagiste et docteur à l’Institut des sciences et industries du vivant et de
l’environnement à Paris. Professeur à l’École nationale supérieure
d’architecture Paris- Malaquais, il enseigne de Zurich à Bruxelles. Lauréat de
l’Académie de France à Rome, pensionnaire de la villa Médicis, il a remporté
de nombreux prix d’architecture. En 2018, il publie avec Erik Orsenna Désir de
villes chez Robert Laffont, dans lequel il explore entre autres les tréfonds
de la ville Terrier et les cimes de la ville Canopée. En 2019, il livre sa
vision d’une ville refuge, partagée et vivante dans son essai Bêtes de villes
paru chez Fayard. Ses petits traités d’histoires naturelles des villes
dessinent en chemin de fascinantes perspectives sur le nouveau milieu naturel
de l’humanité.
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