- EAN13
- 9782226464989
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 20/04/2023
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 23,90
« C’était mieux avant. » Avec la pandémie, l’unanimité de ce thème qui
paraissait jusqu’alors marqué d’une nostalgie stérile revient avec insistance.
Mais de quel « avant » parlons-nous ? Celui de la société de consommation
triomphante des années 1960-1975 ou de la société chrétienne millénaire qui
l’a précédée ?
Dans une plongée vertigineuse vers notre passé récent, Patrick Buisson nous
entraîne des coulisses du concile Vatican II aux assemblées générales des «
Gouines rouges », de la piété teintée de paganisme des pardons bretons aux
bistrots sans femmes des cités ouvrières, du stade à l’alcôve. De ce
cheminement inattendu et fascinant, nul ne sort intact.
Tout change en effet au cours de ces « quinze piteuses » qui voient la
destruction méthodique de l’art de vivre et de la culture populaire, la remise
en cause du monde vertical de l’autorité et l’effondrement des vieilles
croyances.
La petite-bourgeoisie éduquée, soucieuse de se démarquer du moule dans lequel
elle avait été formée a imposé l’hégémonie du progressisme.
Au fil de ce texte remarquablement documenté et écrit, dérangeant mais
profondément argumenté, Patrick Buisson nous confronte à nos contradictions.
Avec La fin d’un monde, il nous éclaire sur ces passions françaises dont il
s’est fait le décrypteur et nous donne le grand livre contemporain des
objecteurs de modernité.
paraissait jusqu’alors marqué d’une nostalgie stérile revient avec insistance.
Mais de quel « avant » parlons-nous ? Celui de la société de consommation
triomphante des années 1960-1975 ou de la société chrétienne millénaire qui
l’a précédée ?
Dans une plongée vertigineuse vers notre passé récent, Patrick Buisson nous
entraîne des coulisses du concile Vatican II aux assemblées générales des «
Gouines rouges », de la piété teintée de paganisme des pardons bretons aux
bistrots sans femmes des cités ouvrières, du stade à l’alcôve. De ce
cheminement inattendu et fascinant, nul ne sort intact.
Tout change en effet au cours de ces « quinze piteuses » qui voient la
destruction méthodique de l’art de vivre et de la culture populaire, la remise
en cause du monde vertical de l’autorité et l’effondrement des vieilles
croyances.
La petite-bourgeoisie éduquée, soucieuse de se démarquer du moule dans lequel
elle avait été formée a imposé l’hégémonie du progressisme.
Au fil de ce texte remarquablement documenté et écrit, dérangeant mais
profondément argumenté, Patrick Buisson nous confronte à nos contradictions.
Avec La fin d’un monde, il nous éclaire sur ces passions françaises dont il
s’est fait le décrypteur et nous donne le grand livre contemporain des
objecteurs de modernité.
S'identifier pour envoyer des commentaires.