- EAN13
- 9782811119249
- Éditeur
- Karthala
- Date de publication
- 13/11/2017
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
Autre version disponible
-
Papier - Karthala 20,00
Une terre sans frontières, en laquelle toute l’humanité pourrait se
reconnaître, c’est ce qu’évoque sans trêve Andrée Chedid tant à travers le
poème, le roman que la nouvelle et le théâtre. Elle tente sans cesse de sonder
par l’écriture l’énigme de la vie et de la nature humaine, ce qui la conduit à
explorer des états diamétralement opposés comme l’espoir et le désespoir, la
vie et la mort, la plénitude et la perte.
D’une famille libanaise, Chedid est née en Égypte, au Caire en 1920. Elle a
vécu à Paris de 1946 jusqu’à sa mort en 2011. Ses écrits ont été couronnés de
nombreux prix littéraires, dont le Prix Albert Camus, en 1996, pour son
autobiographie, Les Saisons de passage, et pour l’ensemble de son oeuvre.
Ayant grandi dans un monde où s’entremêlaient Orient et Occident, elle a vécu
cet univers composite non pas comme une aliénation, mais comme un
enrichissement. C’est avec les sensations et les images de l’Égypte, du Liban
et de la France qu’elle a bâti son oeuvre.
Convaincue que l’essentiel est l’interrogation sur le fond de l’être humain,
elle relance sans relâche la recherche de ce qu’elle appelle le « visage
premier de l’être ». « N’oublie pas que vivre est gloire. » Cette citation de
Rainer Maria Rilke pourrait servir de phrase emblématique de toute l’oeuvre
chedidienne.
Lucide face à la pulsion destructrice inhérente à l’être humain, elle ne cesse
pourtant de donner voix à un énorme instinct de vie. Les récits de Chedid sont
en effet des lieux de combat et de transcendance où résonnent autant son
indignation que son élan vital. Ils portent aussi sur des thèmes comme
l’identité, l’hybridité et l’exil, la figure de l’orphelin et la figure
obsédante de la mère.
L’ouvrage se termine par un questionnement sur l’origine de l’espoir chez
Andrée Chedid. Il est enrichi de deux entretiens que l’auteure a eus avec
l’écrivaine.
reconnaître, c’est ce qu’évoque sans trêve Andrée Chedid tant à travers le
poème, le roman que la nouvelle et le théâtre. Elle tente sans cesse de sonder
par l’écriture l’énigme de la vie et de la nature humaine, ce qui la conduit à
explorer des états diamétralement opposés comme l’espoir et le désespoir, la
vie et la mort, la plénitude et la perte.
D’une famille libanaise, Chedid est née en Égypte, au Caire en 1920. Elle a
vécu à Paris de 1946 jusqu’à sa mort en 2011. Ses écrits ont été couronnés de
nombreux prix littéraires, dont le Prix Albert Camus, en 1996, pour son
autobiographie, Les Saisons de passage, et pour l’ensemble de son oeuvre.
Ayant grandi dans un monde où s’entremêlaient Orient et Occident, elle a vécu
cet univers composite non pas comme une aliénation, mais comme un
enrichissement. C’est avec les sensations et les images de l’Égypte, du Liban
et de la France qu’elle a bâti son oeuvre.
Convaincue que l’essentiel est l’interrogation sur le fond de l’être humain,
elle relance sans relâche la recherche de ce qu’elle appelle le « visage
premier de l’être ». « N’oublie pas que vivre est gloire. » Cette citation de
Rainer Maria Rilke pourrait servir de phrase emblématique de toute l’oeuvre
chedidienne.
Lucide face à la pulsion destructrice inhérente à l’être humain, elle ne cesse
pourtant de donner voix à un énorme instinct de vie. Les récits de Chedid sont
en effet des lieux de combat et de transcendance où résonnent autant son
indignation que son élan vital. Ils portent aussi sur des thèmes comme
l’identité, l’hybridité et l’exil, la figure de l’orphelin et la figure
obsédante de la mère.
L’ouvrage se termine par un questionnement sur l’origine de l’espoir chez
Andrée Chedid. Il est enrichi de deux entretiens que l’auteure a eus avec
l’écrivaine.
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