- EAN13
- 9791037004680
- Éditeur
- Hermann
- Date de publication
- 31/03/2021
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Aide EAN13 : 9791037004680
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Crise sanitaire transformée en crise sociale, économique et financière, la
pandémie de la COVID-19 engendre une réflexion sur l’entreprise et sa
gouvernance. Au moment où le monde d’après émerge, un changement de
trajectoire va-t-il s’amorcer ? La question est posée. Cette crise montre que
l’entreprise est une institution sociale qui doit assumer une responsabilité
sociale. Le conseil d’administration, la direction, les actionnaires et les
parties prenantes doivent donc repenser le cadre analytique de leurs relations
et les raisons profondes qui les amènent à prendre des décisions. Au-delà de
l’entreprise, c’est une perspective holistique qu’il faut avoir et l’on doit
faire de la finance un instrument du changement. Penser l’après-coronavirus
impose que le droit remette en cause des fondamentaux pour placer l’entreprise
devant ses responsabilités. Faire du profit son unique finalité est une
prémisse qui doit être abandonnée : le mieux-vivre ensemble de l’après-
coronavirus est à ce prix.
Cherchant à conserver une trace des nombreux écrits publiés durant la pandémie
de coronavirus, cet ouvrage démontre que la COVID-19 ne constitue pas une
révolution de la gouvernance. Elle remet au goût du jour des débats anciens,
qui montrent aujourd’hui toute leur pertinence. La COVID-19 est susceptible de
constituer une étape de l’évolution de la gouvernance d’entreprise, encore
faut-il que le juriste joue pleinement son rôle dans cette étape.
pandémie de la COVID-19 engendre une réflexion sur l’entreprise et sa
gouvernance. Au moment où le monde d’après émerge, un changement de
trajectoire va-t-il s’amorcer ? La question est posée. Cette crise montre que
l’entreprise est une institution sociale qui doit assumer une responsabilité
sociale. Le conseil d’administration, la direction, les actionnaires et les
parties prenantes doivent donc repenser le cadre analytique de leurs relations
et les raisons profondes qui les amènent à prendre des décisions. Au-delà de
l’entreprise, c’est une perspective holistique qu’il faut avoir et l’on doit
faire de la finance un instrument du changement. Penser l’après-coronavirus
impose que le droit remette en cause des fondamentaux pour placer l’entreprise
devant ses responsabilités. Faire du profit son unique finalité est une
prémisse qui doit être abandonnée : le mieux-vivre ensemble de l’après-
coronavirus est à ce prix.
Cherchant à conserver une trace des nombreux écrits publiés durant la pandémie
de coronavirus, cet ouvrage démontre que la COVID-19 ne constitue pas une
révolution de la gouvernance. Elle remet au goût du jour des débats anciens,
qui montrent aujourd’hui toute leur pertinence. La COVID-19 est susceptible de
constituer une étape de l’évolution de la gouvernance d’entreprise, encore
faut-il que le juriste joue pleinement son rôle dans cette étape.
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