- EAN13
- 9782749256726
- ISBN
- 978-2-7492-5672-6
- Éditeur
- Erès
- Date de publication
- 2018
- Collection
- CLINIQUES-PAROL
- Nombre de pages
- 240
- Dimensions
- 21 x 15 x 1,6 cm
- Poids
- 452 g
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Cliniques paroles de praticiens en institution 14 - Les fonctions de la répétition
Collectif
Erès
Cliniques-Parol
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Dans les premiers temps de la vie, la répétition favorise l’accès à la
symbolisation, comme dans le jeu de cache-cache ou le jeu de la bobine, où l’enfant éprouve l’alternance entre présence et absence. On conçoit alors combien la répétition donne forme aux événements en leur attribuant peu à peu un sens, comment elle permet de se les figurer, et aussi comment elle peut être une tentative pour reprendre le contrôle de
situations traumatiques vécues passivement à l’origine. Mais elle peut
aussi être dénuée de tout soubassement fantasmatique. Les acteurs du soin psychique en institution ont fort à faire avec la répétition : répétition des plaintes, des troubles du comportement, des passages à l’acte, addictions, stéréotypies…
Comment éviter alors que la répétition ne soit qu’une source de souffrance et d’épuisement pour les patients comme pour les soignants ? Comment l’appréhender pour qu’elle serve plutôt qu’elle ne desserve le travail psychique en institution ?
symbolisation, comme dans le jeu de cache-cache ou le jeu de la bobine, où l’enfant éprouve l’alternance entre présence et absence. On conçoit alors combien la répétition donne forme aux événements en leur attribuant peu à peu un sens, comment elle permet de se les figurer, et aussi comment elle peut être une tentative pour reprendre le contrôle de
situations traumatiques vécues passivement à l’origine. Mais elle peut
aussi être dénuée de tout soubassement fantasmatique. Les acteurs du soin psychique en institution ont fort à faire avec la répétition : répétition des plaintes, des troubles du comportement, des passages à l’acte, addictions, stéréotypies…
Comment éviter alors que la répétition ne soit qu’une source de souffrance et d’épuisement pour les patients comme pour les soignants ? Comment l’appréhender pour qu’elle serve plutôt qu’elle ne desserve le travail psychique en institution ?
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