"190 ans de passion littéraire"

 

David Niven, Mémoires
EAN13
9782840498360
Éditeur
Seguier éditions
Date de publication
Collection
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Langue
français
Langue d'origine
anglais
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David Niven, Mémoires

Seguier éditions

Seguier

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782840498360
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    18.99

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" Peut-être bien le meilleur livre jamais écrit sur Hollywood. " (The New York
Times Book Review)
S'il fallait décerner un prix d'élégance aux acteurs, alors David Niven
recueillerait tous les suffrages. Rarement le complet rayé et le trait de
moustache auront été si bien portés à Hollywood, et l'on ne s'étonnera pas que
Ian Fleming pût l'imaginer dans le rôle de James Bond. Est-il annoncé au
casting d'un film qu'on s'attend à le voir dîner en chemise à plastron, nœud
papillon et slippers aux pieds ; avec lui, on pressent surtout les dialogues
ironiques et toute la panoplie de l'humour " so british " – ce tranchant de
l'intelligence. Mais avant la célébrité, Niven aura connu une véritable vie
d'aventures. Renvoyé pour indiscipline de plusieurs écoles britanniques,
insolent à l'armée, mis aux arrêts pour insubordination, il se gagne la
sympathie du geôlier en partageant une bouteille de whisky puis s'échappe par
la fenêtre. On le retrouve quelques mois plus tard aux États-Unis, versé dans
le plagiat littéraire, le commerce de spiritueux, la danse professionnelle et
même la course de poneys, avant que le destin se ressaisisse et le pousse vers
les caméras des grands studios. Ainsi débute une carrière de près de cent
films avec, très vite, des rôles principaux. Niven révèle surtout une
disposition pour les comédies romantiques où sa souriante désinvolture fait
merveille ; il rencontre ensuite le succès international, d'abord grâce à son
rôle de Phileas Fogg dans Le Tour du monde en quatre-vingts jours de Michael
Anderson (1956), puis avec Les Canons de Navarone (1961) de John Lee Thompson
et Les Cinquante-Cinq Jours de Pékin (1963) de Nicholas Ray. Parus et traduits
en deux volumes dans les années 1970, introuvables en français depuis, ses
souvenirs sont ici republiés pour la première fois. Tout refroidit vite, la
gloire d'un acteur en particulier. Mais que l'on se rassure dans les
librairies : peu de choses sont aussi vivantes qu'une page écrite par David
Niven.
" Peut-être bien le meilleur livre jamais écrit sur Hollywood. " –; The New
York Times Book Review
" Désopilant. " –; The Dailymail
" Une lecture hilarante. " –; The Sunday Telegraph
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