"190 ans de passion littéraire"

 

CA Y EST, C'EST LA GUERRE
EAN13
9782848113234
ISBN
978-2-84811-323-4
Éditeur
EDITIONS DES FALAISES
Date de publication
Fiches UNIMARC
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Ca Y Est, C'Est La Guerre

Editions Des Falaises

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Le , Librairie Banse

A l'occasion de la création de l'oeuvre symphonique de Dominique Lemaître « Le grand silence » donnée le vendredi 7 septembre en l'abbatiale de la Sainte Trinité, ce concert ouvrant les célébrations du centenaire de la Première Guerre Mondiale, Laure Banse présentera et dédicacera son livre : « Ça y est, c'est la guerre » à la librairie Banse à Fécamp, le samedi 8 septembre de 10h30 à 12h30 et de 16h à 18h.
Ce livre paru en novembre 2016 raconte la vie au jour le jour des Fécampois pendant les quatre années de la Première Guerre Mondiale. Ce texte est inspiré des souvenirs de Victor Banse, consignés dans un cahier d'écolier ( il avait 12 ans à la déclaration de guerre) et des journaux locaux de l'époque qu'il a consultés au moment de sa retraite. Illustré de 150 photographies et de documents inédits, il traite des difficultés de la vie quotidienne dans une ville qui n'était pas en première ligne mais a du organiser l'accueil de plus de 2000 soldats belges à partir d'octobre 1914.
Laure Banse, petite fille par alliance de Victor Banse est également l'auteur de « C'était l'âge d'or de Fécamp » et de plusieurs livres sur la région.

Le , Librairie Banse

« Ça y est, c’est la guerre ! » est le nouvel ouvrage de Laure Banse qui s’est replongée dans les souvenirs de Victor Banse, grand-père de son époux François, et cofondateur du Fonds ancien Daniel et Victor Banse. Ce nouvel ouvrage est dans la lignée de l’album « C’était l’âge d’or de Fécamp » paru en 2011.

En cette période du centenaire de la Première guerre mondiale, le cahier d’écolier de cette graine d’archiviste était un point de départ intéressant. « À 12 ans, en 1914, il a consigné ses observations sur les changements que la Grande guerre entraînait sur la vie quotidienne dans la ville. Les problèmes d’approvisionnement, de transport, la présence de 2 800 soldats belges, les bateaux de pêche coulés par les sous-marins allemands, la Bénédictine et le collège Jules Ferry transformés en hôpital militaire... Les Fécampois n’étaient pas en première ligne, mais leur vie quotidienne a été bousculée. »

À partir de ce témoignage inédit, Laure Banse est partie en quête de photos et de documents dans les archives familiales, municipales, et préfectorales, et celles de la Bénédictine pour compléter son ouvrage.