"190 ans de passion littéraire"

 

Écoles, pensions et orphelinats au XIXe siècle, L’exemple de Fécamp
EAN13
9791029007262
ISBN
979-10-290-0726-2
Éditeur
Chapitre.com
Date de publication
Nombre de pages
350
Dimensions
23 x 15 x 2,1 cm
Poids
550 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Écoles, pensions et orphelinats au XIXe siècle

L’exemple de Fécamp

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Chapitre.com

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L’éducation au XIXe siècle est partagée entre les maîtres d’école, les maîtres de pension et les congrégations religieuses. Trois d’entre elles s’occupent des enfants à Fécamp : les sœurs de la Providence, les Frères des écoles chrétiennes et les sœurs de Saint Vincent de Paul. Elles apportent une éducation chrétienne entre les riches pensionnats, les écoles gratuites pour les indigents et l’orphelinat de filles. Les maîtres d’école laïques enseignent dans leurs maisons, dans des pensions privées ou dans des bâtiments communaux. Sous la Troisième République de magnifiques maisons d’école sortent de terre et accueillent tous les élèves sans distinction. L’orphelinat Saint-Michel pour les fils de marins péris en mer ouvre ses portes en 1886. Les maisons tenues par les congrégations enseignantes connaissent un déclin à la fin du XIXe siècle.
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Le , Librairie Banse


L’éducation au XIXe siècle est partagée entre les maîtres d’école, les maîtres de pension et les congrégations religieuses. Trois d’entre elles s’occupent des enfants à Fécamp : les sœurs de la Providence, les Frères des écoles chrétiennes et les sœurs de Saint Vincent de Paul. Elles apportent une éducation chrétienne entre les riches pensionnats, les écoles gratuites pour les indigents et l’orphelinat de filles. Les maîtres d’école laïques enseignent dans leurs maisons, dans des pensions privées ou dans des bâtiments communaux. Sous la Troisième République de magnifiques maisons d’école sortent de terre et accueillent tous les élèves sans distinction. L’orphelinat Saint-Michel pour les fils de marins péris en mer ouvre ses portes en 1886. Les maisons tenues par les congrégations enseignantes connaissent un déclin à la fin du XIXe siècle.