- EAN13
- 9782707140685
- ISBN
- 978-2-7071-4068-5
- Éditeur
- La Découverte
- Date de publication
- 28/05/2003
- Collection
- REVUE MOUVEMENT (RMV 000027)
- Nombre de pages
- 247
- Dimensions
- 24,2 x 16,2 x 1,6 cm
- Poids
- 400 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Revue Mouvements numéro 27/28 Quand la société fait son cinéma
Quand la société fait son cinéma, Quand la société fait son cinéma
De Revue Mouvements
La Découverte
Revue Mouvement
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Plutôt que de cinéma social, ce dossier traite du " cinéma du réel ", manière de reposer, au-delà d'un genre par trop délimité, une double question.
Comment le cinéma fabrique-t-il une vision du social ? Au-delà des genres, qu'est-ce qui détermine sa perception de la société ? Ce qui peut apparaître nouveau dans l'approche cinématographique du social tiendrait-il à de nouvelles formes, à l'institution de procédés auparavant marginaux ou secondaires (caméra subjective, fragments, etc.), à des principes esthétiques différents, au changement de l'attente des publics ou à la reconfiguration de ceux-ci ?
Comment la société traverse-t-elle le cinéma ? Dans quelles conditions matérielles de création les cinéastes attentifs à la réalité sociale, et soucieux d'en opérer la critique, parviennent-ils aujourd'hui à tourner et faire connaître leurs œuvres ? Si le cinéma est un métier qui nécessite des techniciens, sa distribution et sa diffusion sont également des métiers exposés aux monopoles des groupes et des complexes (de salles). À quelle portée le regard cinématographique sur le social peut-il prétendre lorsque le cinéma ne s'offre à la réception que d'un public sélectionné, lorsque viennent à manquer circuits de distribution, salles, espaces télévisuels... ?
Ce dossier conjugue une réflexion esthétique et politique à travers l'analyse de films marquants (L'Humanité, Bowling for Columbine, J'ai pas sommeil, etc.) et une analyse des évolutions du secteur, des procédés techniques et des professionnels.
L'itinéraire est consacré à Agnès Varda.
Comment le cinéma fabrique-t-il une vision du social ? Au-delà des genres, qu'est-ce qui détermine sa perception de la société ? Ce qui peut apparaître nouveau dans l'approche cinématographique du social tiendrait-il à de nouvelles formes, à l'institution de procédés auparavant marginaux ou secondaires (caméra subjective, fragments, etc.), à des principes esthétiques différents, au changement de l'attente des publics ou à la reconfiguration de ceux-ci ?
Comment la société traverse-t-elle le cinéma ? Dans quelles conditions matérielles de création les cinéastes attentifs à la réalité sociale, et soucieux d'en opérer la critique, parviennent-ils aujourd'hui à tourner et faire connaître leurs œuvres ? Si le cinéma est un métier qui nécessite des techniciens, sa distribution et sa diffusion sont également des métiers exposés aux monopoles des groupes et des complexes (de salles). À quelle portée le regard cinématographique sur le social peut-il prétendre lorsque le cinéma ne s'offre à la réception que d'un public sélectionné, lorsque viennent à manquer circuits de distribution, salles, espaces télévisuels... ?
Ce dossier conjugue une réflexion esthétique et politique à travers l'analyse de films marquants (L'Humanité, Bowling for Columbine, J'ai pas sommeil, etc.) et une analyse des évolutions du secteur, des procédés techniques et des professionnels.
L'itinéraire est consacré à Agnès Varda.
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