- EAN13
- 9782266190008
- ISBN
- 978-2-266-19000-8
- Éditeur
- Date de publication
- 02/04/2009
- Collection
- Pocket (PPO 002195)
- Nombre de pages
- 168
- Dimensions
- 17,9 x 11 x 0,9 cm
- Poids
- 90 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 843
- Fiches UNIMARC
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Offres
"Françoise Sagan ou l'ivresse d'écrire"
Conférence, photos inédites & film
La librairie Banse vous propose de (re)découvrir Françoise Sagan, ses oeuvres et notamment "Bonjour tristesse" au travers de la conférence: "Françoise Sagan ou l'ivresse d'écrire" qui aura lieu le 3 mars au cinéma le Grand Large à Fécamp. Cette conférence sera suivie du film "Sagan" de Diane Kurys avec Sylvie Testud (Françoise Sagan) Pierre Palmade (Jacques Chazot) Arielle Dombasle (Astrid) Jeanne Balibar (Peggy).
La conférence sera animée par Valérie Mirarchi, Docteure ès philosophie de l’Université de Reims et agrégée de l’Université catholique de Louvain-la-Neuve, membre de l’association Françoise Sagan. Valérie Mirarchi travaille inlassablement à porter son amour pour les livres de l’écrivaine aux autres en multipliant des conférences en France mais aussi au-delà des frontières. Elle propose un regard nuancé sur l’œuvre de cet auteur, souvent sous-estimée et incomprise, ainsi que des photos inédites remises par Denis Westhoff, fils de Françoise Sagan.
Cet évènement est organisé avec le soutien de la bibliothèque de fécamp et en partenariat avec le cinéma Le grand large.
Réservation et retrait des places: Librairie Banse, 42 rue Alexandre Legros - 76400 Fécamp. 0235276872 / librairie.banse@orange.fr
Commentaires des lecteurs
« On disait des Maligrasse, avec sympathie, qu'ils aimaient la jeunesse et cette sympathie était pour une fois justifiée. Car ils l'aimaient non pour s'en distraire et lui prodiguer des conseils inutiles, mais parce qu'ils lui trouvaient plus d'intérêt que ...
Lire la suite« On disait des Maligrasse, avec sympathie, qu’ils aimaient la jeunesse et cette sympathie était pour une fois justifiée. Car ils l’aimaient non pour s’en distraire et lui prodiguer des conseils inutiles, mais parce qu’ils lui trouvaient plus d’intérêt que ...
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