Événements à la librairie - Archives

« Ça y est, c’est la guerre ! » est le nouvel ouvrage de Laure Banse qui s’est replongée dans les souvenirs de Victor Banse, grand-père de son époux François, et cofondateur du Fonds ancien Daniel et Victor Banse. Ce nouvel ouvrage est dans la lignée de l’album « C’était l’âge d’or de Fécamp » paru en 2011.

En cette période du centenaire de la Première guerre mondiale, le cahier d’écolier de cette graine d’archiviste était un point de départ intéressant. « À 12 ans, en 1914, il a consigné ses observations sur les changements que la Grande guerre entraînait sur la vie quotidienne dans la ville. Les problèmes d’approvisionnement, de transport, la présence de 2 800 soldats belges, les bateaux de pêche coulés par les sous-marins allemands, la Bénédictine et le collège Jules Ferry transformés en hôpital militaire... Les Fécampois n’étaient pas en première ligne, mais leur vie quotidienne a été bousculée. »

À partir de ce témoignage inédit, Laure Banse est partie en quête de photos et de documents dans les archives familiales, municipales, et préfectorales, et celles de la Bénédictine pour compléter son ouvrage.

Les mémoires du chroniqueur mondain (Paris Match, Vogue Homme, l'Express, Playboy...), figure des nuits parisiennes, illustrées de photographies. J.-P. de Lucovich relate cinquante ans de vie parisienne, de nuits de fêtes à travers le monde, et peint une galerie de portraits de célébrités internationales et françaises.

Probablement l'un des tout derniers témoignage d'un marin passé de Mousse à capitaine après avoir navigué de nombreuses années sous les ordres de son Père, le Capitaine. Les remarques de son père: "Jean-Claude, trempe ton couteau dans l'eau, tu vas trop vite, la lame rougit" ou encore "tu n'as pas vu le trou dans le chalut à tes pieds", certes un peu vexantes ont participé à sa formation et montraient au reste de l'équipage qu'il n'était aucunement favorisé. Jean-claude Henry explique: "Quand nous nous retrouvions parfois tous les deux, il me répétait: tu as voulu naviguer, je ferai tout pour que tu ne restes pas sur le pont. Mais pour pouvoir monter à la passerelle, tu dois d'abord, parfaitement connaître ton métier de pont. Ce n'est qu'à ce prix là, que tu te feras respecter."

Mars 1928, Geneviève Koffmann, une adolescente de mère française et de père russe, part avec sa mère et sa soeur ainée en URSS afin de rejoindre son père.
Mais elles n’y découvriront pas le paradis espéré.
Victime des purges staliniennes, Geneviève va être emprisonnée dans un premier temps puis déportée dans les camps de travaux forcés du Goulag.
Geneviève y restera enfermée, dans des conditions inhumaines, en pleine Mordovie, jusqu’en 1954, un an après la mort de Staline.
Même une fois libérée, elle devra encore rester en URSS et ne pourra regagner la France qu’en 1991.

Avec ce récit, le seul connu d’une Française concernant ces camps de concentration communistes, nous revivons les longues heures
d’interrogatoires, les travaux forcés, le froid, la faim, les souffrances physiques et morales infligées aux prisonniers.

Francine Mores, qui a mis en forme le terrible témoignage que l’on peut découvrir aujourd’hui, a fait la connaissance de Geneviève Kauffman en 1994. Préparant le concours de l’Éducation nationale en russe, Geneviève Kauffman sera son professeur et bientôt plus que ça. Son amie.

La compagnie Artbooka et la librairie Banse vous convient à une soirée "Rentrée littéraire" qui se déroulera au sein de la librairie Banse. Chacun d'entre vous pourra, s'il le souhaite, parler de son coup de coeur. L'entrée est gratuite, nous vous proposons simplement d'apporter une petite collation de votre choix (biscuit apéritif ou boisson) que nous partagerons. Merci de vous inscrire à la librairie Banse ou en joignant Corinne d'Artbooka au 06.03.47.23.06.
Vous pouvez également nous rejoindre tout simplement pour écouter, partager et découvrir les livres coups de coeur du moment.