- EAN13
- 9782073005175
- Éditeur
- Gallimard
- Date de publication
- 19/01/2023
- Collection
- Les Cahiers de la NRF - André Gide
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Correspondance (1913-1948)
André Suarès, Gabriel Bounoure
Gallimard
Les Cahiers de la NRF - André Gide
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782073005168
-
Fichier PDF, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
16.99 -
Fichier PDF, avec DRM Adobe
-
Aide EAN13 : 9782073005175
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
16.99 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
Autre version disponible
-
Papier - Gallimard 23,00
Correspondre n’a jamais été mot aussi juste pour désigner l’activité
épistolaire, tant les lettres de Gabriel Bounoure et d’André Suarès sont en
adéquation totale quant à l’art d’écrire et l’intelligence du cœur. Qui est
Gabriel Bounoure ? Un conseiller culturel en poste au Liban et en Syrie mais
surtout le plus méconnu et le plus discret des grands critiques littéraires,
notamment à la Nouvelle revue française. Paul Claudel a eu pour lui ce mot
éloquent : « On écrirait volontiers un livre pour vous faire écrire une page.
». L’œuvre d’André Suarès, maître trop secret de la littérature française,
semble pâtir de sa prolixité et du caractère orageux de l’écrivain. Mais son
Voyage du Condottière suffit, pour les amoureux du style, de l’art et de
l’esprit, à le placer au centre de la bibliothèque de tout gentilhomme-
lecteur. Cette correspondance inédite, enfin dévoilée, rend justice à l’un
comme à l’autre. C’est une introduction à l’œuvre complet de Suarès comme un
manuel de critique littéraire, le témoignage d’une amitié profonde et sincère,
le renversement généreux des rôles de maître et de disciple, un portrait et un
autoportrait de Suarès, un lieu de méditations et l’expression chevaleresque
de la quête spirituelle et poétique de deux âmes fortes. Entre 1913 et 1948,
leurs échanges sont traversés par les échos de deux guerres mondiales
(sublimes lettres du capitaine Bounoure), les difficultés morales, physiques
et matérielles : et toujours la poésie s’éprouve comme le seul refuge et la
seule consolation pour les temps obscurs.
épistolaire, tant les lettres de Gabriel Bounoure et d’André Suarès sont en
adéquation totale quant à l’art d’écrire et l’intelligence du cœur. Qui est
Gabriel Bounoure ? Un conseiller culturel en poste au Liban et en Syrie mais
surtout le plus méconnu et le plus discret des grands critiques littéraires,
notamment à la Nouvelle revue française. Paul Claudel a eu pour lui ce mot
éloquent : « On écrirait volontiers un livre pour vous faire écrire une page.
». L’œuvre d’André Suarès, maître trop secret de la littérature française,
semble pâtir de sa prolixité et du caractère orageux de l’écrivain. Mais son
Voyage du Condottière suffit, pour les amoureux du style, de l’art et de
l’esprit, à le placer au centre de la bibliothèque de tout gentilhomme-
lecteur. Cette correspondance inédite, enfin dévoilée, rend justice à l’un
comme à l’autre. C’est une introduction à l’œuvre complet de Suarès comme un
manuel de critique littéraire, le témoignage d’une amitié profonde et sincère,
le renversement généreux des rôles de maître et de disciple, un portrait et un
autoportrait de Suarès, un lieu de méditations et l’expression chevaleresque
de la quête spirituelle et poétique de deux âmes fortes. Entre 1913 et 1948,
leurs échanges sont traversés par les échos de deux guerres mondiales
(sublimes lettres du capitaine Bounoure), les difficultés morales, physiques
et matérielles : et toujours la poésie s’éprouve comme le seul refuge et la
seule consolation pour les temps obscurs.
S'identifier pour envoyer des commentaires.