- EAN13
- 9782226377142
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 2016
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
Autre version disponible
-
Papier - Albin Michel 20,30
« Gérard Amzallag est un scientifique rare : il pense par lui-même !
Cette ambition ne lui a pas valu que des amis mais nous permet de découvrir,
grâce à lui, une approche originale du vivant.
La plupart des scientifiques voient le vivant comme une machine, donc dépourvu
d'autonomie et pouvant être utilisé. Seul le hasard serait en cause. Cette
approche justifie l'exploitation à outrance de la vie et du vivant.
Gérard Amzallag refuse cette facilité. Il démonte l'idée de machine, pas la
machine. Pour lui, il n'existe pas de hasard mais une auto-organisation. Chez
les termites, on observe cette concertation permanente : pas d'ingénieur
derrière la termitière, pas de hasard salvateur.
L'adaptation passe par le cerveau. Comme une plante, cet organe en effet est
toujours en train dese détruire et de se reconstituer. Nous voilà aux
antipodes des comparaisons classiques de l'homme avec les autres mammifères.
Et c'est là sans doute que L'homme végétal ouvre les perspectives les plus
fascinantes. »
Bernard Werber
Cette ambition ne lui a pas valu que des amis mais nous permet de découvrir,
grâce à lui, une approche originale du vivant.
La plupart des scientifiques voient le vivant comme une machine, donc dépourvu
d'autonomie et pouvant être utilisé. Seul le hasard serait en cause. Cette
approche justifie l'exploitation à outrance de la vie et du vivant.
Gérard Amzallag refuse cette facilité. Il démonte l'idée de machine, pas la
machine. Pour lui, il n'existe pas de hasard mais une auto-organisation. Chez
les termites, on observe cette concertation permanente : pas d'ingénieur
derrière la termitière, pas de hasard salvateur.
L'adaptation passe par le cerveau. Comme une plante, cet organe en effet est
toujours en train dese détruire et de se reconstituer. Nous voilà aux
antipodes des comparaisons classiques de l'homme avec les autres mammifères.
Et c'est là sans doute que L'homme végétal ouvre les perspectives les plus
fascinantes. »
Bernard Werber
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