- EAN13
- 9782402040273
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (L'Orme Rond)
- Date de publication
- 1985
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Et demain encore, nous aurons la Messe ! L’autosatisfaction des clercs louant
et admirant les bienfaits du Concile Vatican Il ne suffit plus à masquer
l’effondrement spirituel et moral de la catholicité. Des pans entiers de
l’Église, Une, Sainte, Catholique et Apostolique s’écroulent sous le concert
approbatif et délirant de pasteurs inconscients. La primauté est donnée à
l’œcuménisme béat ou au socialisme rampant et l’amour, prôné certes, ne l’est
plus dans la vérité, mais dans un syncrétisme aberrant. Le vers qui était dans
le fruit poursuit son travail, tandis que ceux qui l’y avaient introduit
mesurent leur victoire. La seule demande de célébration de la Messe dans son
rite millénaire suffit à déclencher une opposition où la peur semble le
disputer à la vindicte. Alors ils en ont peur ? Et ils ont raison, car la
Messe est le rempart, le secours et l’espérance des catholiques fidèles. Ces
derniers bien que rejetés, montrés du doigt, conscients de leurs imperfections
et de leur indignité, quoique petit troupeau dispersé, ne craindront pas, tant
qu’ils auront la Messe. C’est pourquoi les regards se tournent vers Ecône,
comme vers la flamme renaissante sur des braises encore rouges. C’est là où
les vocations convergent, c’est là où se préparent dans la foi, la paix, la
joie et la vérité les prêtres de demain qui continueront à célébrer la Messe,
sacrifice renouvelé et mystérieux de Notre Seigneur Jésus-Christ, pour
laquelle sont morts les martyrs. Merci à Louis-Michel Jugie d’avoir contribué
par ce volume à faire mieux connaître « Le séminaire de l’espoir ».
et admirant les bienfaits du Concile Vatican Il ne suffit plus à masquer
l’effondrement spirituel et moral de la catholicité. Des pans entiers de
l’Église, Une, Sainte, Catholique et Apostolique s’écroulent sous le concert
approbatif et délirant de pasteurs inconscients. La primauté est donnée à
l’œcuménisme béat ou au socialisme rampant et l’amour, prôné certes, ne l’est
plus dans la vérité, mais dans un syncrétisme aberrant. Le vers qui était dans
le fruit poursuit son travail, tandis que ceux qui l’y avaient introduit
mesurent leur victoire. La seule demande de célébration de la Messe dans son
rite millénaire suffit à déclencher une opposition où la peur semble le
disputer à la vindicte. Alors ils en ont peur ? Et ils ont raison, car la
Messe est le rempart, le secours et l’espérance des catholiques fidèles. Ces
derniers bien que rejetés, montrés du doigt, conscients de leurs imperfections
et de leur indignité, quoique petit troupeau dispersé, ne craindront pas, tant
qu’ils auront la Messe. C’est pourquoi les regards se tournent vers Ecône,
comme vers la flamme renaissante sur des braises encore rouges. C’est là où
les vocations convergent, c’est là où se préparent dans la foi, la paix, la
joie et la vérité les prêtres de demain qui continueront à célébrer la Messe,
sacrifice renouvelé et mystérieux de Notre Seigneur Jésus-Christ, pour
laquelle sont morts les martyrs. Merci à Louis-Michel Jugie d’avoir contribué
par ce volume à faire mieux connaître « Le séminaire de l’espoir ».
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