- EAN13
- 9782706205996
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Armand Colin)
- Date de publication
- 1992
- Collection
- Histoires
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
La prise de Berlin par les Soviétiques, au terme de plus d’une semaine de
bataille de rues, n’a d’égal par ses atrocités et ses conséquences que le sac
de Jérusalem, de Carthage et celui, resté célèbre, de Constantinople en 1453.
Grâce à des documents inédits — archives allemandes, écrits soviétiques,
témoignages de rescapés allemands, de prisonniers de guerre français et de
requis du STO — Pierre Rocolle raconte le déroulement des opérations
militaires du côté soviétique et du côté allemand. Pourquoi les Américains n
’ont-ils pas pris Berlin et ont-ils livré du matériel à l’armée Rouge ?
Pourquoi les Allemands n’ont-ils pas fait sauter tous les ponts de Berlin,
mais ont inondé le métro où s’étaient réfugiés des milliers de blessés ?
Pourquoi les Soviétiques, malgré une écrasante supériorité en hommes et en
artillerie et la désorganisation de la Wehrmacht, ont-ils essuyé des pertes
aussi lourdes, sans doute près de 30 000 morts ? Mais cet ouvrage est aussi
une hallucinante reconstitution de la vie quotidienne durant ces journées :
Berlin sous les bombes, sans eau, sans électricité, sans ravitaillement,
sombre dans la nuit. Alors déferlent les troupes soviétiques de 2e ligne et
commence la mise à sac...
bataille de rues, n’a d’égal par ses atrocités et ses conséquences que le sac
de Jérusalem, de Carthage et celui, resté célèbre, de Constantinople en 1453.
Grâce à des documents inédits — archives allemandes, écrits soviétiques,
témoignages de rescapés allemands, de prisonniers de guerre français et de
requis du STO — Pierre Rocolle raconte le déroulement des opérations
militaires du côté soviétique et du côté allemand. Pourquoi les Américains n
’ont-ils pas pris Berlin et ont-ils livré du matériel à l’armée Rouge ?
Pourquoi les Allemands n’ont-ils pas fait sauter tous les ponts de Berlin,
mais ont inondé le métro où s’étaient réfugiés des milliers de blessés ?
Pourquoi les Soviétiques, malgré une écrasante supériorité en hommes et en
artillerie et la désorganisation de la Wehrmacht, ont-ils essuyé des pertes
aussi lourdes, sans doute près de 30 000 morts ? Mais cet ouvrage est aussi
une hallucinante reconstitution de la vie quotidienne durant ces journées :
Berlin sous les bombes, sans eau, sans électricité, sans ravitaillement,
sombre dans la nuit. Alors déferlent les troupes soviétiques de 2e ligne et
commence la mise à sac...
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