- EAN13
- 9782752911667
- Éditeur
- Phébus
- Date de publication
- 03/05/2018
- Collection
- Littérature française
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782752911667
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
12.99
Autre version disponible
-
Papier - Phébus 19,00
On peut se faire doubler par ses doubles. C'est le cas d'E.T.A. Hoffmann,
l'auteur si singulier de Casse-Noisette ou de L'Homme au sable, dont les
personnages ont déteint sur la vie. Romantique tardif, il a composé ses contes
fantastiques comme une échappatoire à un sentiment d'échec et d'inadéquation.
Jusqu'à devenir, pour Sigmund Freud, « le maître inégalé de l'inquiétante
étrangeté en littérature ». Il manquait un biographe inspiré à ce créateur
fou de musique et de vin. Spécialiste du romantisme allemand, le romancier
Pierre Péju nous raconte la drôle de danse de l'écrivain avec ses fantasmes et
ses manques. Il en fait l'un des précurseurs de notre siècle qui efface les
frontières entre le réel et l'irréel. Lecteurs, voici le roman passionnant
d'une vie passée à explorer les deux côtés du miroir. À mêler l'angoisse aux
décors les plus familiers, le rire au tragique. Pour, finalement, en pied de
nez à la fatalité, faire de l'échec la condition même de la réussite.
l'auteur si singulier de Casse-Noisette ou de L'Homme au sable, dont les
personnages ont déteint sur la vie. Romantique tardif, il a composé ses contes
fantastiques comme une échappatoire à un sentiment d'échec et d'inadéquation.
Jusqu'à devenir, pour Sigmund Freud, « le maître inégalé de l'inquiétante
étrangeté en littérature ». Il manquait un biographe inspiré à ce créateur
fou de musique et de vin. Spécialiste du romantisme allemand, le romancier
Pierre Péju nous raconte la drôle de danse de l'écrivain avec ses fantasmes et
ses manques. Il en fait l'un des précurseurs de notre siècle qui efface les
frontières entre le réel et l'irréel. Lecteurs, voici le roman passionnant
d'une vie passée à explorer les deux côtés du miroir. À mêler l'angoisse aux
décors les plus familiers, le rire au tragique. Pour, finalement, en pied de
nez à la fatalité, faire de l'échec la condition même de la réussite.
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