- EAN13
- 9782756406701
- Éditeur
- Pygmalion
- Date de publication
- 04/08/2011
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Voyage au pays de la reine de Saba. Suivi de En Égypte
suivi de En Égypte
Thomas-Joseph Arnaud
Pygmalion
Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782756406701
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Aide EAN13 : 9782756406718
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Papier - Pygmalion 23,50
"J’aurais aimé à connaître Arnaud, avec sa barbe de zouave, son sérieux, ses
bougies, son héroïsme négligent, son génie simple et charmant de l’aventure.
Peut-être, sans le savoir, suis-je allé chercher à Saba son ombre ?"
Antimémoires, André Malraux. Thomas-Joseph Arnaud fut le premier voyageur
européen à atteindre Mareb, capitale du mythique royaume de la reine de Saba.
Il fi t de son voyage une passionnante relation, imprimée dans le Journal
asiatique mais qui ne parut jamais en volume. Avant d’entreprendre ce
périlleux périple en péninsule Arabique, il avait vécu un an et demi au Caire
dont il a décrit, en collaboration avec son compagnon de voyage, Alexandre
Vayssière, la vie quotidienne au temps de Méhémet-Ali. Ce témoignage
exceptionnel fut, lui aussi, presque ignoré des éditeurs. Pourtant, un
écrivain, et pas des moindres, décela l’intérêt capital de ces récits :
Alexandre Dumas qui, les jugeant aussi amusants qu’instructifs, leur consacra
une longue préface dans laquelle il peignit le portrait de ces audacieux
voyageurs et chanta leur découverte de mondes nouveaux.
bougies, son héroïsme négligent, son génie simple et charmant de l’aventure.
Peut-être, sans le savoir, suis-je allé chercher à Saba son ombre ?"
Antimémoires, André Malraux. Thomas-Joseph Arnaud fut le premier voyageur
européen à atteindre Mareb, capitale du mythique royaume de la reine de Saba.
Il fi t de son voyage une passionnante relation, imprimée dans le Journal
asiatique mais qui ne parut jamais en volume. Avant d’entreprendre ce
périlleux périple en péninsule Arabique, il avait vécu un an et demi au Caire
dont il a décrit, en collaboration avec son compagnon de voyage, Alexandre
Vayssière, la vie quotidienne au temps de Méhémet-Ali. Ce témoignage
exceptionnel fut, lui aussi, presque ignoré des éditeurs. Pourtant, un
écrivain, et pas des moindres, décela l’intérêt capital de ces récits :
Alexandre Dumas qui, les jugeant aussi amusants qu’instructifs, leur consacra
une longue préface dans laquelle il peignit le portrait de ces audacieux
voyageurs et chanta leur découverte de mondes nouveaux.
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