- EAN13
- 9791034404025
- Éditeur
- Presses Universitaires de Strasbourg
- Date de publication
- 12/03/2019
- Collection
- Formes cinématographiques
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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L’impuissance du cinéma
Une étude des films d’Ozu
Suzanne Beth
Presses Universitaires de Strasbourg
Formes cinématographiques
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9791034404025
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Gosses de Tokyo, Le Fils unique, Récit d'un propriétaire, Été précoce, Voyage
à Tokyo et Bonjour constituent le cœur de cette étude dédiée au cinéaste
japonais Yasujirô Ozu. La singularité remarquable de son œuvre – sa virtuosité
formelle, sa cohérence thématique – est bien souvent abordée à partir d’une
dissociation entre son style et son intérêt persistant pour la famille dans le
Japon qui lui était contemporain. Confronter la profondeur de la pensée du
cinéma par le cinéma dont témoigne la réalisation d’Ozu au traitement de la
précarité des communautés familiales permet de saisir la portée éthique de ses
films. On y retrouve autant l’attention d'Ozu pour la vie collective que le
soin qu'il porte aux potentialités expressives du cinéma, à commencer par sa
disposition emblématique à (re)produire le mouvement. Procédant au
désœuvrement de l’expressivité de son médium, Ozu révèle la capacité du cinéma
de donner lieu à des mondes à partir de leur teneur sensible : c’est cette
figure de l’impuissance du cinéma que retrace ce livre.
à Tokyo et Bonjour constituent le cœur de cette étude dédiée au cinéaste
japonais Yasujirô Ozu. La singularité remarquable de son œuvre – sa virtuosité
formelle, sa cohérence thématique – est bien souvent abordée à partir d’une
dissociation entre son style et son intérêt persistant pour la famille dans le
Japon qui lui était contemporain. Confronter la profondeur de la pensée du
cinéma par le cinéma dont témoigne la réalisation d’Ozu au traitement de la
précarité des communautés familiales permet de saisir la portée éthique de ses
films. On y retrouve autant l’attention d'Ozu pour la vie collective que le
soin qu'il porte aux potentialités expressives du cinéma, à commencer par sa
disposition emblématique à (re)produire le mouvement. Procédant au
désœuvrement de l’expressivité de son médium, Ozu révèle la capacité du cinéma
de donner lieu à des mondes à partir de leur teneur sensible : c’est cette
figure de l’impuissance du cinéma que retrace ce livre.
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