- EAN13
- 9791037029690
- Éditeur
- Hermann
- Date de publication
- 15/02/2023
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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René Gimpel (1881-1945) fait partie des grands marchands de tableaux de l
’entre-deux-guerres. De 1918 à septembre 1939, il rapporte avec justesse,
humour et même parfois une certaine férocité, les faits et gestes des
personnalités qu’il a rencontrées entre le Royaume-Uni, les États-Unis et
Paris. René Gimpel commence à écrire en 1918. Comme le souligne Jean Guéhenno
dans la préface de la première édition du Journal, « L’intérêt de l’ouvrage
est bien souvent au-delà de la petite histoire ou de l’anecdote. René Gimpel
lui-même savait voir et regarder. Il a le sens du trait ; son œil est d’un
caricaturiste et son Journal se remplit ainsi d’esquisses très personnelles.
Il a tout su, tout vu de la peinture pendant quarante ans », naviguant entre
l’Amérique et l’Europe, contribuant à bâtir outre-Atlantique les plus grandes
collections : celles de Frick, des Rockefeller, des Rothschild, de Ford, de
J.-P. Morgan… Il côtoie les artistes de son temps, mais aussi les marchands :
Joe Duveen, son beau-frère, Durand-Ruel, Paul Rosenberg, Nathan Wildenstein
dont il fut l’associé, Ambroise Vollard… Il croise critiques et écrivains,
Apollinaire, Berenson, et surtout Marcel Proust qu’il rencontra, dès 1907, à
Cabourg, où ils séjournaient dans le même hôtel. Leur passion commune pour
Vermeer les lia d’une profonde amitié.
’entre-deux-guerres. De 1918 à septembre 1939, il rapporte avec justesse,
humour et même parfois une certaine férocité, les faits et gestes des
personnalités qu’il a rencontrées entre le Royaume-Uni, les États-Unis et
Paris. René Gimpel commence à écrire en 1918. Comme le souligne Jean Guéhenno
dans la préface de la première édition du Journal, « L’intérêt de l’ouvrage
est bien souvent au-delà de la petite histoire ou de l’anecdote. René Gimpel
lui-même savait voir et regarder. Il a le sens du trait ; son œil est d’un
caricaturiste et son Journal se remplit ainsi d’esquisses très personnelles.
Il a tout su, tout vu de la peinture pendant quarante ans », naviguant entre
l’Amérique et l’Europe, contribuant à bâtir outre-Atlantique les plus grandes
collections : celles de Frick, des Rockefeller, des Rothschild, de Ford, de
J.-P. Morgan… Il côtoie les artistes de son temps, mais aussi les marchands :
Joe Duveen, son beau-frère, Durand-Ruel, Paul Rosenberg, Nathan Wildenstein
dont il fut l’associé, Ambroise Vollard… Il croise critiques et écrivains,
Apollinaire, Berenson, et surtout Marcel Proust qu’il rencontra, dès 1907, à
Cabourg, où ils séjournaient dans le même hôtel. Leur passion commune pour
Vermeer les lia d’une profonde amitié.
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