- EAN13
- 9782813800602
- ISBN
- 978-2-8138-0060-2
- Éditeur
- Alan Sutton
- Date de publication
- 17/11/2009
- Collection
- Mémoire en images
- Séries
- Cambrai (2)
- Nombre de pages
- 128
- Dimensions
- 23 x 16 x 0,7 cm
- Poids
- 340 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 944.28
- Fiches UNIMARC
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Tome II, De Cantimpré au faubourg de Paris - Cambrai - Tome II - De Cantimpré au faubourg de Paris
De Christian Canonne
Alan Sutton
Mémoire en images
Offres
Cambrésien d'origine et amateur d'histoire locale, Christian Canonne présente ici l'évolution des faubourgs de Cambrai à partir de sa collection de cartes postales, photographies et documents anciens.
Amorcée dès 1810 par la réalisation du canal de Saint-Quentin dans les faubourgs Cantimpré et de Selles, la mutation des quartiers de Cambrai se poursuit avec l'arrivée du chemin de fer, un demi-siècle plus tard, au cur des faubourgs Notre-Dame et Saint-Cloud. Ces transformations s'intensifient à partir de 1892 avec le démantèlement des fortifications, particulièrement denses aux abords du faubourg de Paris. Tout en sauvegardant les monuments les plus emblématiques de son passé militaire (portes Notre-Dame, de Paris ou château de Selles), la ville libérée de ce carcan qui l'entourait voit, dès la fin du XIXe siècle, l'aménagement de boulevards circulaires et d'axes rayonnants qui relient les faubourgs au centre-ville.
Tenus à l'écart, les faubourgs Saint-Roch et Saint-Druon gardèrent un temps leur caractère rural voire bucolique.
Amorcée dès 1810 par la réalisation du canal de Saint-Quentin dans les faubourgs Cantimpré et de Selles, la mutation des quartiers de Cambrai se poursuit avec l'arrivée du chemin de fer, un demi-siècle plus tard, au cur des faubourgs Notre-Dame et Saint-Cloud. Ces transformations s'intensifient à partir de 1892 avec le démantèlement des fortifications, particulièrement denses aux abords du faubourg de Paris. Tout en sauvegardant les monuments les plus emblématiques de son passé militaire (portes Notre-Dame, de Paris ou château de Selles), la ville libérée de ce carcan qui l'entourait voit, dès la fin du XIXe siècle, l'aménagement de boulevards circulaires et d'axes rayonnants qui relient les faubourgs au centre-ville.
Tenus à l'écart, les faubourgs Saint-Roch et Saint-Druon gardèrent un temps leur caractère rural voire bucolique.
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