« Voici un roman frais et original. Un échange épistolaire moderne dans lequel on se glisse avec bonheur ! »
Gilles et Milène (Librairie Charlemagne La Valette)

« Brèves de la vie sous les bombes de l'auteur à Alep en Syrie, qu'il décrit en tableaux, lui qui admire Chagall et Van Gogh.
Bien qu'issu d'une minorité persécutée, il ne peut se résoudre à quitter sa ville et laisser derrière lui sa bibliothèque, son "âme" comme il l'explique.
Tantôt confiné dans son appartement, tantôt promeneur nostalgique ou écrivain public, Niroz Malek témoigne de la vie qui continue dans les décombres de cette ancienne cité fabuleuse.
Sa plume poétique est admirablement traduite en français par l'auteur Fawaz Hussain.
Indispensable par ces temps difficiles. »
Marion (Librairie Broglie)

« Volodia, professeur d’histoire, commence la rédaction d’un ouvrage sur l’éducation des jeunes filles aux XVIIe et XIIIe siècles. Il rencontre Sonia, pianiste, dont il tombe éperdument amoureux. Leur relation, suivie de trahison, va amener Volodia à étudier la place et la fonction du piano dans l’éducation féminine. Un très beau roman sur la musique, la littérature... et sur la recherche du « Grand Amour » ! Passionnant ! »
Élise (Librairie La Galerne)

« L’imposture ou l’usurpation d’identité ont été de nombreuses fois les thèmes principaux de très grands romans... mais aussi de romans insipides et non indispensables !
De Charles Dantzig, avec «Je m’appelle François», en passant par Marcel Aymé et «La belle image» il y a quelques années, 2014 et 2015 nous avaient offert un bon Julia Deck sur le sujet : «Le triangle d’hiver», un très bon Javier Cercas avec «L’imposteur», et un Delphine de Vigan, «D’après une histoire vraie» couronné de nombreux prix !
«L’adversaire» d’Emmanuel Carrère est une bonne mise en condition pour lire «Appelez-moi Lorca Horowitz» d’Anne Plantagenet.
Si dans «l’imposteur» de Cercas, l’auteur nous surprend à clamer haut et fort «Enric Marco, c’est moi!», Anne Plantagenet nous offre ce résumé : « Pourquoi ce fait divers, découvert par hasard dans un magazine, a-t-il attiré mon attention ? Était-ce à cause du nom et de la personnalité de l’étrange secrétaire ? De la place qu’elle avait prise à une autre ? Ou parce que cette histoire s’était déroulée en Andalousie, où j’avais vécu, aimé et même eu un enfant ? De mon existence d’alors, à part mon fils, il ne me restait rien. La femme que j’avais été m’était devenue incompréhensible, et c’était vertigineux. Je ne savais pas, mais il fallait que j’enquête. Voilà pourquoi je suis partie à la recherche de Lorca Horowitz. »
Avec pudeur, par petites touches, l’auteur se met à nu et nous emmène dans un roman maîtrisé tant par le style que par l’intrigue...
Que peut-on faire par amour ? Et surtout... Pourra-t-on plaider des circonstances atténuantes ?
Voici les questions qui se posent à nous à la fin de la lecture de ce roman. »
Katia (Librairie Sauramps)

« Sylvain Pattieu a écrit un roman de pirates, un vrai avec des voiliers, des capitaines impitoyables, des marins hommes d'honneur, ... Les pirates sont des abolitionnistes, des démocrates, des justiciers, même s'ils sont cruels, débauchés et sanguinaires.
Dans cet épais roman, il n'y a pas de dialogues, il y a des digressions et des anachronismes qui font rentrer le réel dans l'histoire, il y a des sermons, des complots, et à quelques reprises, un délicat hommage à sa mère disparue. Ce roman est plein de tempêtes, de scènes de la vie maritimes, d'abordages et de batailles au sabre, de canonnades, de tout ce qui constitue un roman de pirates. Il est aussi une réflexion sur la dignité de l'homme, la liberté, la justice, la mort, la religion, la fraternité, sur l'utopie d'une démocratie à l'écart du monde, sur une île.
Un roman qui embarque sans donner le mal de mer, une histoire qui vous emportera loin. »
Jean (Librairie Le Pain des Rêves)