"190 ans de passion littéraire"

 

Centenaire de la 1ère Guerre Mondiale

Les 100 titres de la Grande Guerre, sélection

19,90

L'avenir de la France et l'Europe s'est scellé en 1914 ; cent ans plus tard, Max Gallo nous raconte cette année cruciale pour l'histoire du monde.
À Paris, gare de l'Est, en ce dimanche 2 août 1914, c'est la mobilisation générale.
Il y a bientôt cent ans, le samedi 1er août, l'Allemagne a déclaré la guerre à la Russie, l'alliée de la France. L'Empire austro-hongrois est, dès le 28 juillet, entré en guerre contre la Serbie. L'engrenage des alliances, des ultimatums, des mobilisations, entraîne les nations dans sa mécanique sanglante. Berlin est solidaire de Vienne. Paris, lié à Londres, soutient Saint-Pétersbourg. En quelques heures, toutes les grandes gares européennes ressemblent à la gare de l'Est.
Tous ces hommes qui partent, innocents, inconscients, n'imaginent pas que des centaines de milliers d'entre eux vont mourir ou être blessés avant que l'année 1914 se termine, et que cette guerre, qui devait être brève et locale, deviendra la Première Guerre mondiale.
Dans 1914, le destin du monde, Max Gallo fait revivre jour après jour cette année 1914, décisive pour l'avenir du monde. Car il faut attendre la guerre dans les Balkans en 1991 pour que, là même où avait été assassiné l'archiduc François-Ferdinand le 28 juin 1914, le cycle ouvert presque quatre-vingts ans plus tôt soit clos. 1914 a été le destin du monde.


fin d'un monde, début d'un siècle, 1914-1918

Perrin

La grande synthèse attendue.
La guerre de 1914-1918 ouvre tragiquement le XXe siècle, souvent nommé le " siècle de la guerre ". Mais ce conflit n'a pas soudainement éclaté à l'été 1914 pour s'interrompre tout aussi brutalement en 1918 : il s'inscrit mentalement dans des comportements issus d'un long XIXe siècle, tout autant qu'il innove et ouvre la voie aux affrontements du XXe siècle. Sondant les mentalités, l'action des chefs comme des humbles, des civils comme des militaires, interrogeant les attitudes de ceux qui décident, autant que de ceux qui vivent la guerre dans le froid des usines ou dans la boue des tranchées, l'auteur envisage, sans parti pris, toutes les dimensions – militaires, économiques, sociales et politiques – de ce conflit total. Il aborde aussi bien le monde des combattants que celui des arrières, les fronts européens qu'asiatiques ou africains. Synthèse d'ampleur, l'ouvrage répond à toutes les questions que l'honnête homme se pose sur cet affrontement parfois dantesque. Refusant de céder à une lecture partisane et exclusivement hexagonale, il se place résolument dans une approche comparative de la première des deux guerres mondiales, un conflit qui a profondément marqué les sociétés contemporaines et demeure, pour les Français, LA Grande Guerre par l'ampleur des pertes, des destructions et des deuils.
Agrégé et docteur en histoire, François Cochet est professeur d'histoire contemporaine à l'université de Lorraine-Metz. Spécialiste des conflits contemporains et de l'expérience combattante, il a publié et dirigé de nombreux ouvrages sur la Grande Guerre. Il est membre du Conseil scientifique de la Mission du centenaire.


Une centaine d'articles présentant la Première Guerre mondiale. L'ouvrage analyse les dimensions politique, militaire, stratégique, économique, religieuse et culturelle de ce conflit, qui a créé dans la société une culture de guerre, tout en façonnant l'Europe contemporaine.


Née de la rivalité des nations européennes, la Grande Guerre plonge le monde dans un tourbillon de violence, aux multiples conséquences : pertes humaines, déplacements des frontières, destructions, exaltation des nationalismes... Cent ans après la déclaration de guerre, cet ouvrage propose une relecture du conflit en 50 clés - chronologiques (les origines, les grandes batailles...) et thématiques (les innovations médicales et militaires, la vie dans les tranchées, les femmes et enfants...) - pour mieux comprendre cet épisode majeur du XXe siècle.


Les Françaises, pilier de l'effort de guerre

Autrement

21,00

Aux champs, dans les usines, dans les hôpitaux, les Françaises ont participé massivement à l'effort de guerre. Elles doivent gérer seules le quotidien et soutenir le moral des soldats. Certaines ont décidé de résister au patriotisme aveugle en s'opposant au militarisme et à la guerre, en dénonçant des conditions de travail pénibles, dangereuses et sous-payées, ou en s'opposant à ce que les enfants soient embrigadés comme « graines de poilus ».La Grande Guerre a marqué un tournant dans l'émancipation féminine en France. Cependant, ce sont les hommes qui sont morts dans l'horreur des tranchées et les femmes ont le sentiment plus ou moins conscient d'une dette envers eux. Dès l'armistice, chacun reprend sa place et les femmes demeurent exclues de la citoyenneté. Contrairement à leurs voisines danoises, allemandes, autrichiennes et anglaises, il leur faudra attendre presque trente ans pour avoir accès au droit de vote...« Un ouvrage intelligent, bien conçu, pour redécouvrir ces femmes des années vingt et mieux comprendre celles d'aujourd'hui. » ELLE.